Je
dois être surveillé car je dis trop de « mal » de Macron et de sa politique
libérale destructrice du lien social. Je sais qu’il a préservé les régimes
spéciaux des policiers et que j’en ai dit du mal (j’ai mal agi = culpabilité,
et je suis d’origine catholique – sans l’être à proprement parler puisque je ne
suis pas baptisé, mes parents ayant un problème avec la question de la
transmission d’un héritage et celle du don… millénaire ! – j’ai donc un
problème avec la culpabilité). Donc les flics vont mettre les gros moyens pour
me faire taire, ils sont au service de Jupiter et Jupiter voit tout, comme «
Big Brother ». J’ai déjà deux blogs sur Blogger qui ont été
supprimés sans avertissement préalable parce que j’y disais la vérité sur mon
père. Jupiter et mon père (donc dieu, puisque pour l’enfant le père c’est dieu
!) doivent comploter contre moi (chacun de leur côté), ce sont deux
personnalités narcissiques, ils ont un énorme problème avec la vérité et ils
ont les gros moyens de la police avec eux. Hier mon ordinateur ramait, un
ordinateur tout neuf ! C’est bien la preuve que je suis hacké par les services
de la DGSI. Sinon je vous assure que je ne suis absolument pas parano !
Ou
alors un coup du Mossad. J’avais beaucoup de pages vues d’Israël sur mes blogs
supprimés !
Mon
père a le bras plus long que je ne le pensais ! Ou alors c’est Jupiter ?
Robert
Blesbois a réussi à obtenir la fermeture de mon blog le 30 décembre 2019 à
l’adresse boblesbois.blogspot.com. Il est possible qu’il
parvienne à obtenir la fermeture de celui-ci, voire de tous les autres… Je sais
qu’il a porté plainte trois fois contre moi et que sa première plainte remonte
à 2015, alors que la prescription pour des faits de pédocriminalité est de 30
ans après la majorité de la victime, soit en 2015 pour moi ! Coïncidence ou
froid calcul ? Connaissant la personnalité de mon père je pencherais plutôt
pour la deuxième hypothèse.
Je
ne sais pas si Vincent B. est un manipulateur comme son père. Je vais juste me
contenter de dresser le portrait-robot de mon père. Ensuite aux lecteurs de se
faire leur propre opinion quant au fait de savoir si mon père a transmis son
caractère au seul fils qu’il a reconnu : Vincent Blesbois.
Comment
définir et identifier la personnalité à profil de pervers narcissique ?
Faire
d’autrui sa victime pour rehausser l’image déficiente qu’il a de lui-même, tel
est, au masculin comme au féminin, le projet de ce sujet aux apparences
trompeuses.
En
effet, le sujet dont la personnalité présente un profil pervers narcissique
organise, par un travail de sape psychologique, la démolition mentale de
l’autre, tout incapable de respect de la personne humaine qu’il/elle est, et
inapte à aimer et à s’engager dans une relation constructive. Ses moyens sont
ceux de la dévalorisation, de l’humiliation, du dénigrement, mais aussi de la
brimade, du discours contradictoire et paradoxal, de la polémique systématique.
Le recours à l’allusion, au non- dit et sous- entendu fréquents. Rabaisser les
agissements du partenaire, nier ses accomplissements, et faire silence sur ses
réussites, tout cela participe à ses techniques insidieuses.
Aussi
est- il difficile pour le harcelé de prendre conscience qu’il est manipulé où
le « bourreau » s’arrange pour ne jamais être pris en flagrant délit et fait
passer aussi l’autre pour coupable. Il lui fait perdre sa confiance en lui-
même, en son jugement et son intuition. Harceler, c’est savoir renverser les
situations, accuser le partenaire de tous les torts et de tous les maux, et
s’arranger pour jouer le beau rôle.
C’est
vivre avec l’arme de la mauvaise foi pour parvenir à semer le doute dans la
conscience de l’autre, pour faire vaciller ses certitudes, ses convictions, sa
volonté. Il s’agit avant tout de sauver les apparences, d’offrir aux yeux de
tous une image de papier glacé, irréprochable. C’est acheter son entourage et
celui de sa victime par des cadeaux ou sous la mascarade d’une amitié
faussement sincère, c’est obtenir des confessions qu’il/elle emmagasinera
méthodiquement pour faire pression sur cet entourage afin d’obtenir son
allégeance. Le pervers narcissique est un meurtrier dont le crime est légal car
il instrumentalise sa victime et le réseau qui l’entoure afin qu’elle
s’autodétruise, gardant ainsi les « mains propres ».
Comment
comprendre ce mode de fonctionnement ?
La
logique du bourreau est en fait celle de la protection : souvent prisonnier
d’une image négative de lui- même, caractérisée par un narcissisme pathologique
qui compense le sentiment de détestation et le manque d’estime qu’il se voue,
il a besoin de dominer, cherchant confusément à exploiter, tel un vampire de
toutes les heures les qualités du partenaire.
Ce
qui explique ce mode de fonctionnement est la peur de n’être rien.
Ce
sujet s’offre comme une enveloppe vide de sens, d’humanité, d’affects. Ce n’est
pas un hasard s’il s’en prend à des sujets dont la sensibilité, la richesse
intérieure, les qualités intellectuelles l’attirent comme un aimant. Il s’agit
de piller, de prendre chez l’autre ce qu’il ne pense pas avoir développé
lui-même.
Au fond,
la personne qui harcèle est victime d’un sentiment d’auto dévalorisation dont
les sources remontent à l’enfance, où l’ombre d’une mère omnipotente l’a
empêché d’entrer dans la lumière, de croire en lui, de développer une autonomie
et une image positive de lui- même pour se construire. Tout engagement affectif
profond et durable est impossible pour cet être immature.
Par
ailleurs, il est courant que ce type d’individu n’ait pas fait d’apprentissage
des limites et qu’il reproduise dans sa vie d’adulte un modèle d’éducation où
tout était dû à l’enfant qu’il était. Il ne peut envisager la relation avec
autrui que sur le mode du besoin et non du désir et du respect ; le partenaire,
dans quelque domaine que ce soit, devenant la « chose » qui doit satisfaire ses
envies sans rien demander en échange.
Portrait
du harceleur :
Dans
un premier temps, l’harceleur a deux visages : au premier abord, il est
charmant, plutôt brillant. Il excelle dans l’art de la séduction. Il choisit
une proie généreuse et forte. Cette résolution n’est pas anodine, c’est un
moyen pour lui de conserver l’estime de soi. Si aux yeux de son entourage, il
demeure quelqu’un de parfait, son discours dans l’intimité va changer.
Sa/son
partenaire va devenir victime de critiques systématiques, d’une campagne de
dévalorisation permanente destinée à l’épuiser psychologiquement au point de
lui faire douter de ses moindres jugements.
Son
travail de sape est soutenu par la volonté de maintenir sa victime dans
l’isolement.
Incapable
d’empathie, les souffrances des victimes sont le cadet de ses soucis. A
l’extérieur, c’est un être qui privilégie l’apparence.
Les
harceleurs sont, au masculin comme au féminin, dénués d’émotion, très
narcissiques, ce sont des coquilles, souvent superbes mais vides, qui travaillent
toujours sur la dévalorisation. Ils veulent tout maîtriser, tout posséder, tout
diriger. Ce sont des comédiens extraordinaires qui déjouent les plus fins
psychologues car ils se convainquent des mensonges qu’ils créent et savent vous
émouvoir par force larmes et serments, et vous font culpabiliser d’avoir osé
mettre en doute leur fausse bonne foi.
Leur
objectif : placer le partenaire amoureux sous haute dépendance ! Pas question
qu’elle (il) ne s’essaye à égratigner son ego en présence d’amis. Les mesures
de rétorsions seront à la hauteur de l’humiliation qu’il considère avoir subie,
si vous osez seulement le contredire en public.
De
plus, ce tyran domestique se considère comme le meilleur partout. Il sait tout
et rejette sur l’autre tout ce qu’il ne supporte pas en lui. La mauvaise foi
est son fond propre. Il n’existe que grâce à ses victimes.
Quand
il vous sent mal, il a une forme de jouissance, quand vous pleurez, il est là,
avec une jouissance non- dite. C’est de l’ordre de la jouissance car c’est un
être qui ne vibre pas, quand il voit vibrer l’autre négativement, alors pour
lui c’est un summum. Et s’il ne change jamais, c’est parce qu’il n’en a aucune
envie et n’en ressent pas le besoin.
Portrait
de la victime :
Douée,
consciencieuse, c’est un être tourné vers l’extérieur, qui n’hésite pas à
donner.
Intelligente,
pleine de vie, gaie, elle manque cependant de confiance en elle et s’épuise à
tenter de plaire à tous et surtout à lui. Généreuse, elle ne peut se résoudre à
la perversité de son bourreau et lui cherche souvent des excuses. En partie à
cause de son sens de responsabilités, elle n’hésite pas à se remettre en
question à chaque remarque, à chaque critique. Petit à petit, elle perd le peu
de confiance en elle, qui lui restait et dépérit.
Lorsqu’elle
comprend qu’elle n’est pas à l’origine de tous les problèmes, et qu’elle se
résout enfin à réagir, elle n’est plus que l’ombre d’elle-même.
La
victime se remet constamment en question et ne comprend pas pourquoi elle est
ainsi affublée de tous les maux de la terre. Amoureuse, elle se sent trahie,
mais cherche néanmoins longtemps à sauver la situation, à retrouver un état
d’amour. Jusqu’à l’ultime prise de conscience qui la conduit à rompre. Mais à
la différence de son bourreau, une prise de conscience (parfois aidée d’une
psychothérapie) peut lui permettre de sortir de ce cercle vicieux.
Il y
a deux sortes de victime : les victimes déprimées et en même temps agressives.
Heureusement, car l’agressivité leur permet de rester « vivantes », et les
victimes complètement broyées et qu’il faut alors porter.
Comment
sortir de cet engrenage ?
Pour
se sortir de ce cercle infernal, il faut d’abord l’affirmation de soi associée
à un cadre juridique.
L’affirmation
de soi nécessite une remise en question et une retrouvaille avec soi- même.
Prendre la décision de se séparer de son partenaire est très difficile. Il faut
en effet que les blessures de l’amour soient un peu cicatrisées et il faut être
convaincu que la rupture est inévitable. Quand on arrive à cette ultime décision,
c’est que les autres se sont avérées inutiles parce qu’il est impossible de
transformer cet homme/femme qui ne se remettra jamais en question. L’harceleur
estime n’avoir aucun besoin de changer. C’est pourquoi, il faut éviter les
séances de médiation ou de thérapie familiale qui se soldent par un
retournement de situation contre la victime. En effet, face au psychologue ou
au médiateur, le bourreau se transforme comme par magie en victime. Il ne
changera pas et ses capacités à séduire comme à manipuler auront toujours
autant d’impact lors des premières rencontres avec les conciliateurs.
Pour
sortir de cet engrenage, la seule arme est de recouvrer l’estime de soi afin de
ne plus être happée par cette séduction diabolique. Il faudra mobiliser toute
son énergie pour quitter son statut de victime.
La
justice sera une aide précieuse.
La
justice :
Quand
la victime aura fait le chemin nécessaire, elle conclura qu’elle n’a pas
d’autre choix que d’envisager la séparation du partenaire pervers. Sauf que
dans mon cas, il ne s’agit pas d’un conjoint, je ne l’ai pas choisi puisqu’il
s’agit de mon père, alors que lui a choisi de faire comme si je n’existais pas
depuis que j’ai 19 ans. Jamais dans tout mon entourage, je n’ai vu un tel cas
de figure !
C’est
plus facile de se débarrasser d’un enfant encombrant, que de se débarrasser
psychiquement de son père. Quand il sentait que j’allais mal il avait une forme
de jouissance, quand je souffrais, il était là avec une jouissance non-dite :
c’est pour cela qu’il m’a fait tant souffrir, et qu’il semble d’ailleurs
toujours aujourd’hui comme sourd et aveugle à ma détresse. C’est de l’ordre de
la jouissance car c’est un être qui ne vibre pas ; mais quand il voit vibrer
l’autre négativement, alors pour lui c’est un summum d’extase.
Côté
finances : les pervers sont généralement très avares du moins avec leur famille
et incapable de donner quoique ce soit. En cas de séparation, ils se rendent
insolvable grâce à des tours de passe- passe plus ou moins légaux. Il faut
repérer ses transactions financières et photocopier tout ce qui pourrait donner
des indications sur son mode de vie (occulte ou non) tant professionnel ou
privé.
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